Nachfolgend die originale Version für unsere Französischen Leser
-------------------------------------------------------------------------
Suite de l´histoire Long Duong
Long avait donc ouvert une Boutique de vêtements à Rennes
À ce moment la je suis très intéressé par la mode du cerfvolant. Elle me donnait envie d'en vendre petit à petit.
À L époque, il y avait paimpol voile* qui me proposait d'acheter ces CV et les revendre. J' ai refusé. Et puis on m'a aussi proposéd'être inscrit dans un clubs de CV pour bénéficier de prix intéressants sur lesmatériaux. Nos idées étaient différentes.
Très vite, je commencais à faire mes CV sans l'aide depersonne. Je trouvais qu'il y avait beaucoup de bruit sur la plage et dans lesmeetings. J'ai observé que ces bruits n'étaient pas apprécié par tout le monde.
Je pense que les marques de CV françaises étaient énervés par mes brevets.
Mespetites lattes de tension, sont aussi la signature de Long Duong.
J'ai amené untype de cerf-volant plus silencieux, plus puissant et plus rapide. Les CV LongDuong étaient très repérables par ces détails.
Aujourd' hui, je continue encoremes recherche sans me lasser. Et j'aide au maximum mon fils Julien pour sabelle boutique, le travail qu'il a fourni pour continuer le commerce estbrillant.
Long Duong
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
*
Paimpol-Voiles.
Adios les cerfs-volants
Publié le 12 septembre 2005
L'entreprise Paimpol-Voiles a revendu son activité cerf-volant à la société espagnole Éolo, et ferme ainsi son usine de Kerfot, qui n'employait plus que dix personnes. Elle conserve par contre le magasin de voilerie, qui reste ouvert sur le port de Paimpol.
��Les Espagnols me sollicitaient depuis longtemps. Etant donné que la retraite approche, que mes enfants ne souhaitaient pas reprendre et qu'aucune société française ne me présentait d'offre intéressante, il fallait saisir l'opportunité», justifie le dirigeant de Paimpol-Voiles, Daniel Hue. Créée il y a 25 ans, la société produisait 200.000 cerfs-volants par an dans son usine de fabrication de Kerfot. En 2003, elle représentait un chiffre d'affaires de 1,36 M€. Pour faire face à une concurrence de plus en plus difficile au milieu des années 90, la société avait délocalisé une partie de sa production sur l'Île Maurice. Seul l'assemblage des cerfs-volants et le développement des nouveaux modèles subsistaient dans le Goëlo.
Précaution autour du personnel de fabrication
Si la vente de l'activité au premier fabricant espagnol de cerfs-volants - la société Éolo, spécialisée dans les articles de jeux et sports de plage, notamment les voiles de traction de kite-surf - est effective, les négociations sont en cours concernant la dizaine d'employés de production. «Ils constituent un savoir-faire évident pour le repreneur, souligne Daniel Hue. La question est de savoir s'ils accepteront de suivre la marque en Espagne ?» Éolo récupère, en effet, les machines et tout le matériel de fabrication, le fichier clients, mais aussi la marque - un système antichoc breveté unique - et le réseau commercial, «animé par des représentants multicartes dans toute la France», précise le dirigeant paimpolais.
Le magasin du port reste ouvert
Car Paimpol-Voiles conserve sa seconde activité de voilerie : la vente et la réparation de toiles et de voiles pour les plaisanciers.
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------